Musée d'Histoire de Marseille

Musée d'Histoire de Marseille

Du 6 au 16 octobre 2023

La Fête de la science, c’est dix jours de manifestations gratuites, partout en France et à l’international, organisée par le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, en lien avec de nombreux acteurs du paysage scientifique et culturel français.Dans ce cadre le musée d'Histoire de Marseille vous propose de découvrir l’exposition Trésors coupables gratuitement ! L’occasion également de participer aux événements organisés autour de l’exposition :

► Conférence : Le triste sort des orphelins

Mercredi 11 octobre à 18h

Par Nicolas Grimal, Secrétaire perpétuel de l’Académie des Inscriptions et des Belles-Lettres, Institut de France

Nicolas Grimal soulèvera l’épineux problème des documents arrachés à leur contexte et de l’étendue des dégâts causés par cette perte d’information. Il mettra l’accent sur certaines civilisations d’Amérique centrale à travers l’exemple des « huaceros » et de la constitution de collections privées.

Entrée libre à l'auditorium du Musée d'Histoire de Marseille dans la limite des places disponibles

► Visite commentée de l’exposition

Mercredi 11 octobre à 14h30

Gratuit, sans réservation dans la limite des places disponibles

Du 6 au 16 octobre 2023

La Fête de la science, c’est dix jours de manifestations gratuites, partout en France et à l’international, organisée par le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, en lien avec de nombreux acteurs du paysage scientifique et culturel français.Dans ce cadre le musée d'Histoire de Marseille vous propose de découvrir l’exposition Trésors coupables gratuitement ! L’occasion également de participer aux événements organisés autour de l’exposition :

► Conférence : Le triste sort des orphelins

Mercredi 11 octobre à 18h

Par Nicolas Grimal, Secrétaire perpétuel de l’Académie des Inscriptions et des Belles-Lettres, Institut de France

Nicolas Grimal soulèvera l’épineux problème des documents arrachés à leur contexte et de l’étendue des dégâts causés par cette perte d’information. Il mettra l’accent sur certaines civilisations d’Amérique centrale à travers l’exemple des « huaceros » et de la constitution de collections privées.

Entrée libre à l'auditorium du Musée d'Histoire de Marseille dans la limite des places disponibles

► Visite commentée de l’exposition

Mercredi 11 octobre à 14h30

Gratuit, sans réservation dans la limite des places disponibles

Mercredi 11 octobre à 18h

Par Nicolas Grimal, Secrétaire perpétuel de l’Académie des Inscriptions et des Belles-Lettres, Institut de France

Nicolas Grimal soulèvera l’épineux problème des documents arrachés à leur contexte et de l’étendue des dégâts causés par cette perte d’information. Il mettra l’accent sur certaines civilisations d’Amérique centrale à travers l’exemple des « huaceros » et de la constitution de collections privées.

Entrée libre à l'auditorium du Musée d'Histoire de Marseille dans la limite des places disponibles

Mercredi 11 octobre à 18h

Par Nicolas Grimal, Secrétaire perpétuel de l’Académie des Inscriptions et des Belles-Lettres, Institut de France

Nicolas Grimal soulèvera l’épineux problème des documents arrachés à leur contexte et de l’étendue des dégâts causés par cette perte d’information. Il mettra l’accent sur certaines civilisations d’Amérique centrale à travers l’exemple des « huaceros » et de la constitution de collections privées.

Entrée libre à l'auditorium du Musée d'Histoire de Marseille dans la limite des places disponibles

Vendredi 27 octobre 2023 à 14h

À partir de 7 ans

Après avoir découvert la vaisselle médiévale présentée dans les vitrines du Musée, vous êtes invités non pas à manger mais à croquer à l’aide de sanguine un objet que vous aurez choisi !

Tarifs adultes : entrée gratuite

Tarifs enfants : entrée gratuite + 4 € l’activité pour les 5-18 ans (tarif réduit 1,5 €) / gratuit pour les moins de 5 ans

Sans réservation, dans la limite des places disponibles

Vendredi 27 octobre 2023 à 14h

À partir de 7 ans

Après avoir découvert la vaisselle médiévale présentée dans les vitrines du Musée, vous êtes invités non pas à manger mais à croquer à l’aide de sanguine un objet que vous aurez choisi !

Tarifs adultes : entrée gratuite

Tarifs enfants : entrée gratuite + 4 € l’activité pour les 5-18 ans (tarif réduit 1,5 €) / gratuit pour les moins de 5 ans

Sans réservation, dans la limite des places disponibles

Mardi 17 octobre à 18h

Par Myriame Morel Deledalle, Conservateur en chef du patrimoine au Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée (MuCEM)
Myriame Morel présentera le contexte de création du premier musée d’histoire de Marseille en 1983, qui a résulté de la découverte des vestiges du Port antique en 1967 et du navire de la Bourse en 1974.

Dans le cadre des « Mardis de l’histoire »

Entrée libre à l'auditorium du musée d'Histoire de Marseille dans la limite des places disponibles

Visuel : © Lisa Ricciotti

Mardi 17 octobre à 18h

Par Myriame Morel Deledalle, Conservateur en chef du patrimoine au Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée (MuCEM)
Myriame Morel présentera le contexte de création du premier musée d’histoire de Marseille en 1983, qui a résulté de la découverte des vestiges du Port antique en 1967 et du navire de la Bourse en 1974.

Dans le cadre des « Mardis de l’histoire »

Entrée libre à l'auditorium du musée d'Histoire de Marseille dans la limite des places disponibles

Visuel : © Lisa Ricciotti

Mardi 31 octobre à 18h

Par Julie Marchand, titulaire d’un master en histoire contemporaine, historienne, Université de Caen Normandie, mémoire de master intitulé « Les raflés de Marseille de janvier 1943 internés au camp de Royallieu. Une micro-histoire des répressions et des persécutions en France » sous la direction de Gaël Eismann, maître de conférences à l’Université de Caen Normandie

Du 22 au 29 janvier 1943, les Allemands, avec la complicité du régime de Vichy organisent l’une des plus grandes opérations de répression menées en France sous l’Occupation. Des rafles visent alors des victimes juives et non-juives et conduisent à l’organisation de deux convois au départ de la cité phocéenne vers le camp d’internement de Royallieu à Compiègne, le 24 janvier et le 31 janvier 1943. Répression et persécution s’entremêlent pour donner naissance à une opération d’envergure dont les objectifs sont multiples et les politiques complexes. Cette conférence reviendra sur la chronologie fine de ces événements afin de présenter la diversité des portraits de ces raflés internés au Frontstalag 122, la multiplicité de leurs parcours à travers des archives variées.

Entrée libre à l'auditorium du musée d'Histoire de Marseille dans la limite des places disponibles

Mardi 31 octobre à 18h

Par Julie Marchand, titulaire d’un master en histoire contemporaine, historienne, Université de Caen Normandie, mémoire de master intitulé « Les raflés de Marseille de janvier 1943 internés au camp de Royallieu. Une micro-histoire des répressions et des persécutions en France » sous la direction de Gaël Eismann, maître de conférences à l’Université de Caen Normandie

Du 22 au 29 janvier 1943, les Allemands, avec la complicité du régime de Vichy organisent l’une des plus grandes opérations de répression menées en France sous l’Occupation. Des rafles visent alors des victimes juives et non-juives et conduisent à l’organisation de deux convois au départ de la cité phocéenne vers le camp d’internement de Royallieu à Compiègne, le 24 janvier et le 31 janvier 1943. Répression et persécution s’entremêlent pour donner naissance à une opération d’envergure dont les objectifs sont multiples et les politiques complexes. Cette conférence reviendra sur la chronologie fine de ces événements afin de présenter la diversité des portraits de ces raflés internés au Frontstalag 122, la multiplicité de leurs parcours à travers des archives variées.

Entrée libre à l'auditorium du musée d'Histoire de Marseille dans la limite des places disponibles

ANNULÉ
Dimanche 15 octobre à 15h

Par Adil Jazouli, sociologue.

Cette marche, inédite dans les banlieues populaires, fut la réponse civique et pacifique des jeunes de ces quartiers aux violences sociales et policières récurrentes, elle faisait suite aux premières grandes émeutes urbaines de 1981. Depuis cet évenement, la situation sociale et économique de ces quartiers ne s’est pas vraiment amélioré malgré certains efforts de l’État et des collectivités locales et surtout grâce à un tissu associatif de proximité. Les rapports, en permanence conflictuels, entre les jeunes et les forces de police n’ont cessé de se dégrader, donnant lieu aux émeutes de 2005 et à celles du début de l’été de cette année. Cette conférence s’attachera à faire une « chronique des années banlieues » et à tracer des perspectives pour l’avenir.
En lien avec l'exposition Là où il y a eu oppression, il y a eu résistance 1983 - 2023 la marche pour l'égalité et contre le racisme.

Entrée libre à l'auditorium du musée d'Histoire de Marseille dans la limite des places disponibles

 

 

ANNULÉ
Dimanche 15 octobre à 15h

Par Adil Jazouli, sociologue.

Cette marche, inédite dans les banlieues populaires, fut la réponse civique et pacifique des jeunes de ces quartiers aux violences sociales et policières récurrentes, elle faisait suite aux premières grandes émeutes urbaines de 1981. Depuis cet évenement, la situation sociale et économique de ces quartiers ne s’est pas vraiment amélioré malgré certains efforts de l’État et des collectivités locales et surtout grâce à un tissu associatif de proximité. Les rapports, en permanence conflictuels, entre les jeunes et les forces de police n’ont cessé de se dégrader, donnant lieu aux émeutes de 2005 et à celles du début de l’été de cette année. Cette conférence s’attachera à faire une « chronique des années banlieues » et à tracer des perspectives pour l’avenir.
En lien avec l'exposition Là où il y a eu oppression, il y a eu résistance 1983 - 2023 la marche pour l'égalité et contre le racisme.

Entrée libre à l'auditorium du musée d'Histoire de Marseille dans la limite des places disponibles

 

 

Du vendredi 13 au dimanche 15 octobre 2023

Les Journées nationales de l’architecture, organisées par le ministère de la Culture du 13 au 15 octobre 2023, ont vocation à fédérer les initiatives qui contribuent à la découverte de l’architecture et de ses métiers auprès de tous les publics. Elles visent à révéler la présence de l’architecture dans tous les territoires, qu’il s’agisse de grands projets ou de constructions du quotidien. Au programme du musée d’Histoire de Marseille, rendez-vous pour de nombreuses propositions : tables-rondes dans le cadre des rencontres d’Image de ville « Au Gai savoir urbain » rencontre avec des professionnels de l’architecture, visites thématiques…

► Conférence : Vous avez dit « transition » ?

Vendredi 13 octobre à 18h

Avec Antoine Brès, architecte-urbaniste, professeur en aménagement et urbanisme et chercheur au sein de l’équipe CRIA de l’UMR Géographie-Cites de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Voici un mot-valise qui mérite d’être bien analysé. En effet, la « transition démographique » est une notion utilisée, en 1945, par Frank W. Notestein aux États-Unis, pour désigner le passage d’un taux de mortalité et d’un taux de natalité élevés à des taux maitrisés. Pour les marxistes, la transition vise le passage du capitalisme au communisme, généralement via le socialisme. C’est en Angleterre que naît le mouvement international des « Villes en transition » initié par Rob Hopkins (né en 1968), enseignant en permaculture. Son Manuel de transition. De la dépendance au pétrole à la résilience locale, popularise ce terme, repris dans l’intitulé d’un ministère… Les enjeux environnementaux se satisferont-ils d’une « transition », n’exigent-ils pas des décisions et des actions plus radicales?

Dans le cadre des Rencontres d’Image de Ville : Au Gai Savoir Urbain
Cette conversation sera prolongée par la projection-débat : Vendredi 13 octobre - 20h30 - Vidéodrome 2Dark Eden de Jasmin Herold et Michael Beamish(documentaire - Allemagne - 2018 - 1h 20min.)

Entrée libre à l'auditorium du musée d'Histoire de Marseille dans la limite des places disponibles

 

► Comment écologiser notre esprit ? …En allant au cinéma !

Samedi 14 octobre à 15h

Avec Jean-Michel Durafour, théoricien des images, Agrégé de philosophie, docteur en esthétique, professeur à l’université Aix-Marseille

Il ne s’agit pas d’ajouter « durable » à n’importe quel thème pour aller dans le bon sens. Il nous faut écologiser notre esprit, c’est-à-dire penser simultanément, le processus la transversalité et l’interrelation. C’est donc une nouvelle culture qu’il convient d’élaborer et de pratiquer. C’est dire si aussi bien l’organigramme des municipalités et du gouvernement devrait rompre avec les silos thématiques verticaux et opter pour la collégialité, que les filières universitaires disciplinaires devraient être entièrement réorganisées. Pour exposer les enjeux et les modalités de cette écologisation de notre culture, ce changement de regard sur le vivant – dont les humains -, en particulier au cinéma, qui d’autre que Jean-Michel Durafour ?

Dans le cadre des Rencontres d’Image de Ville : Au Gai Savoir Urbain
Prolongée par la projection-débat : Samedi 14 octobre - 18h - Vidéodrome 2
Geographies of solitude de Jacquelyn Mills - rencontre-projection
(documentaire - Canada - 2022 - 1h 43)

Entrée libre à l'auditorium du musée d'Histoire de Marseille dans la limite des places disponibles

 

► Visites thématiques : Le patrimoine marseillais en miniature : Visite de la salle des maquettes

Samedi 14 et dimanche 15 octobre 2023 à 10h

( Hors les Murs – RDC immeuble CMCI)

Le Musée d'Histoire de Marseille ouvre un nouvel espace dévolu àune collection inédite de maquettes d'architecture. Outils de travail ou témoignages d'édifices disparus, les maquettes permettent aussi de comprendre, séduire ou imaginer. Plus de soixante modèles réduits de nos édifices sont ainsi présentés dans une scénographie qui les expose de façon spectaculaire et inattendue.

Rendez-vous devant l’accueil du site du archéologique du Port antique, 2, rue Henri Barbusse. L’accès à l’immeuble CMCI étant contraint, soyez à l’heure !

Accès gratuit sur réservation : 04 91 55 36 00 – musee-histoire@marseille.fr

 

► Visites thématiques : Architectures multiples, des vestiges antiques aux bâtiments du XXe siècle

Samedi 14 et dimanche 15 octobre 2023 à 14h

Du point de vue du site de la Bourse, les témoignages d'architecture, du port antique aux tours Labourdette, en passant par les immeubles haussmanniens du XIXe siècle, se confrontent. Itinéraire d’un territoire occupé, exploité, habité, aménagé depuis 2600 ans.

Accès gratuit - Sans réservation dans la limite des places disponibles

 

► Visite architecturale du Musée d’Histoire de Marseille

Samedi 14 octobre 2023 à 16h

Par Roland Carta, architecte

Roland Carta, architecte et concepteur du projet de réaménagement du musée d’Histoire de Marseille en 2013 vous propose une visite des espaces intérieurs et extérieurs du musée en insistant sur les caractéristiques et questions inhérentes à ce projet : son inscription dans un centre commercial, la nécessité de rendre visible le lien qui l’unit à la ville...

Accès gratuit - Sans réservation dans la limite des places disponibles

Du vendredi 13 au dimanche 15 octobre 2023

Les Journées nationales de l’architecture, organisées par le ministère de la Culture du 13 au 15 octobre 2023, ont vocation à fédérer les initiatives qui contribuent à la découverte de l’architecture et de ses métiers auprès de tous les publics. Elles visent à révéler la présence de l’architecture dans tous les territoires, qu’il s’agisse de grands projets ou de constructions du quotidien. Au programme du musée d’Histoire de Marseille, rendez-vous pour de nombreuses propositions : tables-rondes dans le cadre des rencontres d’Image de ville « Au Gai savoir urbain » rencontre avec des professionnels de l’architecture, visites thématiques…

► Conférence : Vous avez dit « transition » ?

Vendredi 13 octobre à 18h

Avec Antoine Brès, architecte-urbaniste, professeur en aménagement et urbanisme et chercheur au sein de l’équipe CRIA de l’UMR Géographie-Cites de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Voici un mot-valise qui mérite d’être bien analysé. En effet, la « transition démographique » est une notion utilisée, en 1945, par Frank W. Notestein aux États-Unis, pour désigner le passage d’un taux de mortalité et d’un taux de natalité élevés à des taux maitrisés. Pour les marxistes, la transition vise le passage du capitalisme au communisme, généralement via le socialisme. C’est en Angleterre que naît le mouvement international des « Villes en transition » initié par Rob Hopkins (né en 1968), enseignant en permaculture. Son Manuel de transition. De la dépendance au pétrole à la résilience locale, popularise ce terme, repris dans l’intitulé d’un ministère… Les enjeux environnementaux se satisferont-ils d’une « transition », n’exigent-ils pas des décisions et des actions plus radicales?

Dans le cadre des Rencontres d’Image de Ville : Au Gai Savoir Urbain
Cette conversation sera prolongée par la projection-débat : Vendredi 13 octobre - 20h30 - Vidéodrome 2Dark Eden de Jasmin Herold et Michael Beamish(documentaire - Allemagne - 2018 - 1h 20min.)

Entrée libre à l'auditorium du musée d'Histoire de Marseille dans la limite des places disponibles

 

► Comment écologiser notre esprit ? …En allant au cinéma !

Samedi 14 octobre à 15h

Avec Jean-Michel Durafour, théoricien des images, Agrégé de philosophie, docteur en esthétique, professeur à l’université Aix-Marseille

Il ne s’agit pas d’ajouter « durable » à n’importe quel thème pour aller dans le bon sens. Il nous faut écologiser notre esprit, c’est-à-dire penser simultanément, le processus la transversalité et l’interrelation. C’est donc une nouvelle culture qu’il convient d’élaborer et de pratiquer. C’est dire si aussi bien l’organigramme des municipalités et du gouvernement devrait rompre avec les silos thématiques verticaux et opter pour la collégialité, que les filières universitaires disciplinaires devraient être entièrement réorganisées. Pour exposer les enjeux et les modalités de cette écologisation de notre culture, ce changement de regard sur le vivant – dont les humains -, en particulier au cinéma, qui d’autre que Jean-Michel Durafour ?

Dans le cadre des Rencontres d’Image de Ville : Au Gai Savoir Urbain
Prolongée par la projection-débat : Samedi 14 octobre - 18h - Vidéodrome 2
Geographies of solitude de Jacquelyn Mills - rencontre-projection
(documentaire - Canada - 2022 - 1h 43)

Entrée libre à l'auditorium du musée d'Histoire de Marseille dans la limite des places disponibles

 

► Visites thématiques : Le patrimoine marseillais en miniature : Visite de la salle des maquettes

Samedi 14 et dimanche 15 octobre 2023 à 10h

( Hors les Murs – RDC immeuble CMCI)

Le Musée d'Histoire de Marseille ouvre un nouvel espace dévolu àune collection inédite de maquettes d'architecture. Outils de travail ou témoignages d'édifices disparus, les maquettes permettent aussi de comprendre, séduire ou imaginer. Plus de soixante modèles réduits de nos édifices sont ainsi présentés dans une scénographie qui les expose de façon spectaculaire et inattendue.

Rendez-vous devant l’accueil du site du archéologique du Port antique, 2, rue Henri Barbusse. L’accès à l’immeuble CMCI étant contraint, soyez à l’heure !

Accès gratuit sur réservation : 04 91 55 36 00 – musee-histoire@marseille.fr

 

► Visites thématiques : Architectures multiples, des vestiges antiques aux bâtiments du XXe siècle

Samedi 14 et dimanche 15 octobre 2023 à 14h

Du point de vue du site de la Bourse, les témoignages d'architecture, du port antique aux tours Labourdette, en passant par les immeubles haussmanniens du XIXe siècle, se confrontent. Itinéraire d’un territoire occupé, exploité, habité, aménagé depuis 2600 ans.

Accès gratuit - Sans réservation dans la limite des places disponibles

 

► Visite architecturale du Musée d’Histoire de Marseille

Samedi 14 octobre 2023 à 16h

Par Roland Carta, architecte

Roland Carta, architecte et concepteur du projet de réaménagement du musée d’Histoire de Marseille en 2013 vous propose une visite des espaces intérieurs et extérieurs du musée en insistant sur les caractéristiques et questions inhérentes à ce projet : son inscription dans un centre commercial, la nécessité de rendre visible le lien qui l’unit à la ville...

Accès gratuit - Sans réservation dans la limite des places disponibles

Mardi 3 octobre à 18h

Par Anne Lehoërff, professeur des universités à CY Paris Université sur la Chaire Inex Archéologie et Patrimoine, Membre sénior de l'IUF, elle préside le Conseil national de la recherche archéologique. Archéologue et historienne, Protohistorienne, elle est archéométallurgiste, s'intéresse aux artisanats anciens, aux échanges, à l'histoire de l'archéologie. Elle a dirigé le projet européen "BOAT 1550 BC" sur les premières navigations en Europe. Elle a publié récemment, le Dictionnaire amoureux de l'Archéologie (Plon, 2021), L'archéologie (Que sais-je, [2019 ] 2022), Le Néolithique (Que Sais-je, [2020] 2023), Mettre au monde le patrimoine, l’archéologie en actes publié en 2023 aux éditions Le Pommier.

La question semble anodine, innocente. Elle sonne comme un jeu joyeux de l’enfance, elle évoque ces parcours ponctués d’énigmes, de rires et de bousculades dont on a raffolé bambins. Et pourtant… Si la chasse au trésor enfantine organisée lors des anniversaires ou des colonies de vacances est bien innocente, celle que les « grands » pratiquent parfois est d’une autre nature. Armé de moyens plus ou moins élaborés, seul ou accompagné, le chasseur de « trésor archéologique » s’adonne à un jeu qui n’en est pas un. Déclaré souvent comme un « loisir », on veut penser que certains l’envisagent sincèrement de cette façon et sans y voir malice.

D’autres en revanche, conscients de débusquer ces « trésors » par goût, par plaisir individualiste ou même par appât du gain revendiquent avec virulence un « droit » à s’emparer d’un patrimoine archéologique enfoui ou englouti, bravant ainsi le caractère illégal d’une telle démarche en France. Pourquoi est-ce interdit ? Et pourquoi est-ce grave ? Et pourquoi est-ce si important de s’en expliquer dans le dialogue ? Cette conférence analysera la notion de « trésor » et soulignera la responsabilité de chacun de le préserver, pour la science et au nom de l’humanité. Anne Lehoërff abordera également à cette occasion une question contemporaine majeure, la restitution aux pays d'origine des objets hérités du passé colonial.

En lien avec l’exposition Trésors coupables. Pillages archéologiques en France et dans le bassin méditerranéen.

Entrée libre dans la limite des places disponibles à l’auditorium du Musée d’Histoire de Marseille 2 rue Henri Barbusse, plus d’infos sur le site internet du musée !

 

Photo : Anne Lehoërff ©Astrid di Crollalanza

Mardi 3 octobre à 18h

Par Anne Lehoërff, professeur des universités à CY Paris Université sur la Chaire Inex Archéologie et Patrimoine, Membre sénior de l'IUF, elle préside le Conseil national de la recherche archéologique. Archéologue et historienne, Protohistorienne, elle est archéométallurgiste, s'intéresse aux artisanats anciens, aux échanges, à l'histoire de l'archéologie. Elle a dirigé le projet européen "BOAT 1550 BC" sur les premières navigations en Europe. Elle a publié récemment, le Dictionnaire amoureux de l'Archéologie (Plon, 2021), L'archéologie (Que sais-je, [2019 ] 2022), Le Néolithique (Que Sais-je, [2020] 2023), Mettre au monde le patrimoine, l’archéologie en actes publié en 2023 aux éditions Le Pommier.

La question semble anodine, innocente. Elle sonne comme un jeu joyeux de l’enfance, elle évoque ces parcours ponctués d’énigmes, de rires et de bousculades dont on a raffolé bambins. Et pourtant… Si la chasse au trésor enfantine organisée lors des anniversaires ou des colonies de vacances est bien innocente, celle que les « grands » pratiquent parfois est d’une autre nature. Armé de moyens plus ou moins élaborés, seul ou accompagné, le chasseur de « trésor archéologique » s’adonne à un jeu qui n’en est pas un. Déclaré souvent comme un « loisir », on veut penser que certains l’envisagent sincèrement de cette façon et sans y voir malice.

D’autres en revanche, conscients de débusquer ces « trésors » par goût, par plaisir individualiste ou même par appât du gain revendiquent avec virulence un « droit » à s’emparer d’un patrimoine archéologique enfoui ou englouti, bravant ainsi le caractère illégal d’une telle démarche en France. Pourquoi est-ce interdit ? Et pourquoi est-ce grave ? Et pourquoi est-ce si important de s’en expliquer dans le dialogue ? Cette conférence analysera la notion de « trésor » et soulignera la responsabilité de chacun de le préserver, pour la science et au nom de l’humanité. Anne Lehoërff abordera également à cette occasion une question contemporaine majeure, la restitution aux pays d'origine des objets hérités du passé colonial.

En lien avec l’exposition Trésors coupables. Pillages archéologiques en France et dans le bassin méditerranéen.

Entrée libre dans la limite des places disponibles à l’auditorium du Musée d’Histoire de Marseille 2 rue Henri Barbusse, plus d’infos sur le site internet du musée !

 

Photo : Anne Lehoërff ©Astrid di Crollalanza

Mercredi 18 octobre, 15 novembre et 13 decembre à 14h

Le visiteur cheminera jusqu’au Mémorial des déportations en passant par les quartiers dynamités par les allemands en 1943 et reconstruits sous l’impulsion d’architectes dont Fernand Pouillon et Gaston Castel. Cette balade se clôturera par la visite du Mémorial des déportations.

Balade gratuite, sur réservation au 04 91 55 36 00 et par mail : musee-histoire@marseille.fr

Visuel : Vue du site ©Richard Belleudy

 

 

Mercredi 18 octobre, 15 novembre et 13 decembre à 14h

Le visiteur cheminera jusqu’au Mémorial des déportations en passant par les quartiers dynamités par les allemands en 1943 et reconstruits sous l’impulsion d’architectes dont Fernand Pouillon et Gaston Castel. Cette balade se clôturera par la visite du Mémorial des déportations.

Balade gratuite, sur réservation au 04 91 55 36 00 et par mail : musee-histoire@marseille.fr

Visuel : Vue du site ©Richard Belleudy

 

 

Mardi 24 octobre 14h

En suivant l’exemple des tampons servant à réaliser des Indiennes (tissus imprimés), réalise ta linogravure en atelier. Cette animation consiste à retirer des parties d’un dessin réalisé sur une plaque de linogravure à l’aide d’une gouge, de l’encre sera apposé ensuite sur les reliefs pour transférer le motif sur une feuille de dessin. Après l’atelier l’enfant récupère ces réalisations.

> Enfants à partir de 7 ans, accompagnés d'un adulte

> Tarifs adultes : entrée gratuite

> Tarifs enfants : entrée gratuite + 4 € l’activité pour les 5-18 ans (tarif réduit 1,5 €)

> Sans réservation dans la limite des places disponibles

Mardi 24 octobre 14h

En suivant l’exemple des tampons servant à réaliser des Indiennes (tissus imprimés), réalise ta linogravure en atelier. Cette animation consiste à retirer des parties d’un dessin réalisé sur une plaque de linogravure à l’aide d’une gouge, de l’encre sera apposé ensuite sur les reliefs pour transférer le motif sur une feuille de dessin. Après l’atelier l’enfant récupère ces réalisations.

> Enfants à partir de 7 ans, accompagnés d'un adulte

> Tarifs adultes : entrée gratuite

> Tarifs enfants : entrée gratuite + 4 € l’activité pour les 5-18 ans (tarif réduit 1,5 €)

> Sans réservation dans la limite des places disponibles

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